A. La découverte d’un champignon
Le Phytophtora infestans est un champignon qui provoque la maladie nommée mildiou. Cette maladie s’attaque principalement à la pomme de terre et contamine ainsi les récoltes. L’Irlande n’est toutefois pas gravement touchée et le peuple ne semble pas trop s’inquiéter.
La maladie se propage cependant à fière allure puisque le commerce international est très important et qu’il transporte ainsi les récoltes atteintes et la maladie du même coup un peu partout en Europe. Le gouvernement, par prévention, veut que les Irlandais apprennent à diversifier leur culture et il les oblige à cultiver minimalement le blé, le maïs et la pomme de terre.
Le Phytophtora infestans est un champignon qui provoque la maladie nommée mildiou. Cette maladie s’attaque principalement à la pomme de terre et contamine ainsi les récoltes. L’Irlande n’est toutefois pas gravement touchée et le peuple ne semble pas trop s’inquiéter.
La maladie se propage cependant à fière allure puisque le commerce international est très important et qu’il transporte ainsi les récoltes atteintes et la maladie du même coup un peu partout en Europe. Le gouvernement, par prévention, veut que les Irlandais apprennent à diversifier leur culture et il les oblige à cultiver minimalement le blé, le maïs et la pomme de terre.

B. L’Irlande frappée
1. Pénurie de pommes de terre
Les Irlandais sont durement frappés par la maladie du mildiou qui refait surface en l’an 1846. Les populations plus démunies ne peuvent manger à leur faim ce qui entraînera une baisse de leur santé. Ce n’est donc pas le mildiou qui tue les gens, mais les maladies qu’ils contractent suite à leurs conditions de vie misérables.
Un nouveau groupe, les Jeunes Irlandais, s’inspirait d’une révolution sans violence qui avait été menée en France (d’où la similarité du drapeau respectif des deux nations) par Lamartine. L’idée nationaliste était toujours bel et bien présente. Cependant, la maladie les frappa à nouveau et durera jusqu’en 1850 cette fois-ci.
2. Émigration
L’exode avait commencé avant 1846, mais l’arrivée de la maladie n’a fait qu’accélérer le pas. En effet, de 1846 à 1855, 1 800 000 personnes quittent l’Irlande, principalement dans le but de fuir les troubles agricoles qui s’avèrent meurtriers. Plusieurs s’établiront en Amérique du Nord et la religion aide grandement à leur intégration. Aussi leur haine pour l’Angleterre fait en sorte qu’ils sont acceptés par les Américains et aide l’émancipation d’un nationalisme très puissant : « la haine tenace de l’Angleterre est la caractéristique du nationalisme irlandais-américain » .
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